... bien que tout le monde devrait le savoir ...
nous le rappelons !
Les réalités des métiers du cinéma sont:
Les RELATIONS et l'APPRENTISSAGE SUR LE TAS
Si vous ne possèdez pas ces atouts, il faut les acquérir.
Nous vous proposons de vous aider pour celà !!!
IL existe deux procédés:
Le procédé négatif couleur.
Ce procédé nécessite un tirage ce qui parait plus compliqué. En fait cela présente des avantages
En effet lors du tirage il faut faire un réglage de la lumière de la tireuse: c'est l'étalonnage.
Les trois lumières: rouge, vert et bleu, d'une tireuse additive sont réglées pour obtenir le tirage positif souhaité. On peut rechercher la fidélité du rendu par rapport à la réalité, ou plutôt un effet en couleur ou en densité, mais surtout, ajuster le passage d'un plan à l'autre pour égaliser les problèmes de raccords.
L'étalonnage est une opération extrêmement délicate, car de très nombreux paramètres interviennent dans le rendu final de l'image en densité et en couleur. Certains paramètres sont techniques (différence de rendu de la pellicule d'une boite à l'autre,
changement de lumière, régularité du traitement au laboratoire,...), mais il y a aussi l'interprétation de l'étalonneur. C'est pourquoi le responsable de l'image d'un film (directeur de la photographie) doit bien se comprendre avec l'étalonneur.
Un bon moyen pour cela est d'utiliser une charte (familièrement appelée Lilie).
Latitude d'exposition
Nous verrons plus loin qu'un autre avantage du procédé négatif par rapport à l'inversible, c'est son importante latitude d'exposition. C'est d'ailleurs grâce à cette caractéristique que l'étalonnage peut se faire avec une grande souplesse.
Enfin, le procédé négatif permet de limiter les manipulations sur le égatif original. Le travail de post-production se fait sur la copie positive ou à partir d'un télécinéma du négatif (ou du positif).
Manipuler le négatif est toujours risqué car c'est sur cet élément que se retrouve tout le travail et l'argent de la production. (Le son qui pourtant est tout aussi important que l'image pour le résultat final d'un film, ne demande pas en général des investissements aussi conséquents que l'image).